DU RIFIFI CHEZ LES HOMMES - 1954

Titre VF DU RIFIFI CHEZ LES HOMMES
Titre VO
Année de réalisation 1954
Nationalité France
Durée 1h56
Genre POLICIER
Notation
Date de sortie en France 13/04/1955
Thème(s)
Le Breton (Auguste)
Wheeler (René)
Arc de Triomphe (Paris)
Réalisateur(s)
DASSIN Jules
Chef(s) Opérateur(s)
AGOSTINI Philippe
Musique
AURIC Georges
Renseignements complémentaires
Scénario : Jules Dassin,
René Wheeler et Auguste Le Breton
d'après le roman de ce dernier .....
Chanson : Magali Noël
Assistant-réalisateur : Jean-Jacques Vierne
Décors : Alexandre Trauner
Produit par Henri Berard
Distribution : Pathé Consortium

Visa d'exploitation : 16 012

Nota : pour Roger Rudel, uniquement la voix (celle de Carl Möhner) .....
Acteurs
SERVAIS Jean
MÖHNER Carl
MANUEL Robert
DASSIN Jules
SABOURET Marie
LUPOVICI Marcel
HOSSEIN Robert
DARCEY Janine
NOEL Magali
MAURIN Dominique
SYLVAIN Claude
ARMANDEL
BOUVETTE Alain
GARAND Alice
DALIBERT André
DAVID Jacques
GENEVOIS Emile
HAINIA Marcelle
LESIEUR Marcel
RUDEL Roger
MENDAILLE Daniel
RECIO Lita
MONTREAL Huguette
ROUZE Marcel
MOREAU Gilbert
SARDOU Fernand
BILIS Teddy
GRASSET Pierre
HELL René
Résumé

Tony le Stephanois a bien du mal à s'y retrouver lors de sa sortie de prison, où il vient de séjourner cinq ans à la place de son ami Jo. Il décide alors de faire un casse dans une bijouterie avec trois truands, casse dont le succès est compromis par l'imprudence de l'un des comparses.

Bibliographie
- Radio-Cinéma numéro 326
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinématographe numéros 58, 63 et 65
- Positif numéros 14/15
- La Revue du Cinéma numéro 82
- Mon Film numéro 484
- Cinéma numéros 7 et 258
- Téléciné numéros 48 et 49









Critiques (Public)
Un film d’une noirceur totale. Dassin parvient à imprimer à son film un rythme implacable. Ce n’est pas une force qui va, c’est une fuite en avant. On sait dès le départ qu’aucun des compères ne pourra survivre, la mort les guette, c’est inéluctable. Et quelle image mes enfants, quelle image ! Rarement film français aura eu une si belle pellicule. Les noirs et blancs sont parfaits. L’interprétation de Jean Servais est superbe. Le type a vécu, ça transpire toute au long de sa composition. On pourrait, si on était tatillon, reprocher à Robert Manuel, qui interprète Mario, d’en faire un peu trop dans les mimiques et les expressions ritales, mais ce serait se refuser un plaisir gratuit. Et que dire de la très belle musique de Georges Auric ? Au final, Du rififi chez les hommes est un des meilleurs polars français. Seul Melville a su faire aussi bien. C’est peu dire. EF