SIDEWALK STORIES - 1989

Titre VF SIDEWALK STORIES
Titre VO Sidewalk stories
Année de réalisation 1989
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h30
Genre COMEDIE
Notation 15
Date de sortie en France 18/0/1990
Thème(s)
Cinéma noir américain (Black exploitation) .....
Festival International du Film d'Humour de Chamrousse (Grand Prix)
Réalisateur(s)
LANE Charles
Chef(s) Opérateur(s)
DILL Bill
Musique
MARDER Marc
Renseignements complémentaires
Scénario : Charles Lane
Distribution : Pan Européenne

Nota :

- Le film est tourné en noir et blanc et en muet (hormis les dernières minutes) .....

- Grand Prix et Prix du Public au Festival de Chamrousse 1990 .....
Acteurs
LANE Charles
ALYSIA Nicole
WILSON Sandye
WILLIAMS Darnell
HOOSIER Trula
BASKIN Michael
RIDDICK George
HOOVER Tom
RAMOS Luis
TREZZA Franck john
SKLAR Olivia
KERSHEN Ed
VERHAUS Joseph
KLAPPER Ian
REYNOLDS Herb
WILSON Jomo
O'NEIL Jody
CAPPELLINO Angel
TUFFTEE Robert
LEVIN Paul james
SAGE Bill
FALCO Edie
ENGLISH Ellia
MAC WILLIAMS Robin
ANTONY Edwin
JORDAN Lewis Anthony
PAYNE Eric
SPELLMAN Gina
LANE Gerald
CLOHESSY Robert
GORDOON Franklin
HOWARD Bobby
STEEN Henry
KAPP Chris
LESSER Elizabeth
Résumé

Un jeune peintre portraitiste noir, recueille une petite fille perdue dans les rue de Manhattan. Différentes aventures cocasses et drôles arrive au sympathique duo, durant lesquelles, l'enfant s'attachera de plus en plus à son jeune sauveur. Il faudra échapper à la police, poursuivre de vilains kidnappeurs, trouver un nouveau foyer après la destruction de leur home, rechercher la mère inquiète...

>>> Hommage et constant clin d'œil au "Kid" de Chaplin...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 459
- Première numéro 158
- Studio numéro 37
- Cahiers du Cinéma numéros 431/432
- Télérama numéros 2101-2200
Critiques (Public)
Malice et tendresse sont les maîtres mots de ce film chaplinien de Charles Lane, un nouveau venu du cinéma black américain (heureusement) plus proche de Spike Lee que d'Eddie Murphy. Son amour pour ses personnages, sa peinture du milieu des sans-abris (jamais misérabiliste, sauf la fin, seul ratage du film), et sa constante auto-dérision font de cette comédie qui flirte avec le mélodrame une des bonnes surprises de la saison. Il ne lui manque peut-être qu'un peu de rythme, mais surtout, ni la couleur, ni la parole. (D.W. Graphite)