Un jeune peintre portraitiste noir, recueille une petite fille perdue dans les rue de Manhattan. Différentes aventures cocasses et drôles arrive au sympathique duo, durant lesquelles, l'enfant s'attachera de plus en plus à son jeune sauveur. Il faudra échapper à la police, poursuivre de vilains kidnappeurs, trouver un nouveau foyer après la destruction de leur home, rechercher la mère inquiète...
>>> Hommage et constant clin d'œil au "Kid" de Chaplin...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 459
- Première numéro 158
- Studio numéro 37
- Cahiers du Cinéma numéros 431/432
- Télérama numéros 2101-2200
Critiques (Public)
Malice et tendresse sont les maîtres mots de ce film chaplinien de Charles Lane, un nouveau venu du cinéma black américain (heureusement) plus proche de Spike Lee que d'Eddie Murphy. Son amour pour ses personnages, sa peinture du milieu des sans-abris (jamais misérabiliste, sauf la fin, seul ratage du film), et sa constante auto-dérision font de cette comédie qui flirte avec le mélodrame une des bonnes surprises de la saison. Il ne lui manque peut-être qu'un peu de rythme, mais surtout, ni la couleur, ni la parole. (D.W. Graphite)