STANLEY ET IRIS - 1989

Titre VF STANLEY ET IRIS
Titre VO Stanley & Iris
Année de réalisation 1989
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h44
Genre MELODRAME
Notation 14
Date de sortie en France 25/04/1990
Thème(s)
Réalisateur(s)
RITT Martin
Chef(s) Opérateur(s)
MAC ALPINE Donald
Musique
WILLIAMS John
Renseignements complémentaires
Scénario : Harriet Frank
et Irving Ravetch .....
d'après le roman de Pat Barker :
"Union Street" .....
Produit par Arlene Sellers
et Alex Winitsky .....
Distribution : UIP

Visa d'exploitation : 72 684
Acteurs
FONDA Jane
DE NIRO Robert
KURTZ Swoosie
PLIMPTON Martha
CROSS Harley
SHERIDAN Jamey
CHALIAPIN Feodor (junior)
LAMPERT Zohra
DEVINE Loretta
GARFIELD Julie
LUDWIG Karen
ROOT Stephen
JONES Eddie
KINNEY Kathy
LYLE Laurel
TESTA Mary
CORTEZ Katherine
SCOLLAY Fred J.
GILL Jack
DUCKWORTH Dortha
AARRONS Bob
MASTEN Gordon
REED B. J.
BLACKBURN Richard
SANVIDO Guy
BERGSCHNEIDER Conrad
QUIGLEY Gerry
BLACKBURN Michael
HORRUZEY Paul
GILL Jack
Résumé

Deux êtres solitaires, Stanley Cox, ne sachant ni lire, ni écrire, et Iris King, traumatisée par la mort de son époux, vont se rencontrer, se connaître et s'aimer...

>>> Dernière réalisation du metteur en scène Martin Ritt, "Stanley et Iris" jette un chaleureux regard sur des personnages ordinaires marqués chacun à sa façon par la vie. Si la trame est plutôt classique, le scénario fourmille de détails vrais et d'un souci du décor social rare dans les films hollywoodiens contemporains. De plus, Jane Fonda et Robert De Niro sont constamment remarquables...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 460
- Première numéros 157-158
- Studio numéro 37
- Positif numéro 352
- Télérama numéros 2102-2328-2196
Critiques (Public)
Du cinéma de bons sentiments, comme le cinéma américain institutionnel en fabrique à la chaîne, les yeux fermés et la conscience tranquille. Sentimentalisme et optimisme béats sont les ingrédients de la sauce, dans laquelle baignent Fonda (normal) et De Niro (plus étonnant et plus navrant.) L'Amérique profonde, vue sous cet angle (malgré quelques concessions critiques), n'a rien de bien passionnant. On est loin des films américains de Louis Malle ou encore, pour citer un flambant pavé dans la mare récente de "Roger et moi". (D.W. Graphite)