LA SERVANTE ECARLATE - 1989

Titre VF LA SERVANTE ECARLATE
Titre VO The handmaid's tale
Année de réalisation 1989
Nationalité Etats-Unis / Allemagne
Durée 1h48
Genre DRAME
Notation 7
Date de sortie en France 20/06/1990
Thème(s)
Anticipation (Cinéma américain)
Pinter (Harold)
Réalisateur(s)
SCHLÖNDORFF Volker
Chef(s) Opérateur(s)
LUTHER Igor
Musique
SAKAMOTO Ryuichi
Renseignements complémentaires
Scénario : Harold Pinter
d'après le roman de Margaret Atwood .....
Produit par Daniel Wilson
Distribution : AMLF

Visa d'exploitation : 72 803
Acteurs
DUNAWAY Faye
RICHARDSON Natasha
QUINN Aidan
MAC GOVERN Elizabeth
TENNANT Victoria
DUVALL Robert
BAKER Blanche
LIND Traci
WILSON Zoey
DOBY Kathryn
SCHÖNE Reiner
HARTPENG Lucia
BULLOCK Gary
MAC INTYRE Lucile
HOLMES Allison
RILEY Karma ibsen
RAIFORD Robert
HUNTER J. Michael
BOHNET Mirjam
BELL Julian e.
GRIMSHAW Jim
CARLEO 3 James A.
MIGEL Ivan
BOGGS Doris
FENSKE Annemarie
PIERCE Linda
SEIDMAN Sarah
BLANTON Nina lynn
WATSON Muse
STONE Rhesa reagan
RITSCHEL Elke
MAC LEOD Janell
LEARNED Jane
HAYNES Randell
BOND Rhonda
NICHOLSON Mil
PENTZ Robert
MAC GOVERN Tom
SIMPKINS Danny
MARTIN James G. (junior)
CHEN Stefanie j.
STRUBLE Blair nicole
SANDICK Molly
DUKES David
BARNES David
GRADY Ed
OWEN Bill
Résumé

Dans un monde futur, mais pourtant proche, après certains errements scientifiques (nucléaire, pollution, bactériologique) la plupart des femmes se retrouvent stériles. Une société puritaine et répressive, "la nouvelle Gilead" a pris les rênes de l'Etat et a regroupé les femmes encore fécondes dans des camps de rééducation où elles doivent servir à la procréation auprès des dirigeants de la "société idéale"...

>>> Un sujet en or, massacré par le cinéaste, s'engluant dans le démonstratif appuyé.

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 463
- Première numéro 159
- Studio numéro 40
- Positif numéro 355
- Télérama numéros 2112 et 2235
Critiques (Public)
Quoi, ce "porte-avions" sans âme et sans conviction est signé Volker Schloendorff ? Voilà un bien triste sort pour celui dont on vantait justement la force de conviction. Mais comment croire un seul instant à cette mise en scène de mauvaise propagande ? Rien n'est crédible dans cet avatar orwelien, et encore moins le jeu des acteurs, digne d'un mauvais sitcom télé. Le récit aurait mérité un traitement réaliste, autant plus efficace que plus justifié (le regain puritaniste, nous y sommes déjà). Mais la gonflette hollywoodienne a fait son oeuvre. OLGA VON CLAP