Le brutal Ragnar, roi incontesté des Vikings, se rend une fois de plus en Angleterre pour une de ses cruelles virées de pillage. Il donne libre cours à ses élans violents, tue le monarque et viole son épouse Enid. Egbert, cousin ambitieux et successeur du défunt roi, échappe à la colère injustifiée de ce dernier et se ligue avec Ragnar pour assouvir son irrépressible soif de vengeance...
>>> Film à grand spectacle, réalisé sous forme de nordique saga aventurière dans laquelle la prestation du fringant Kirk Douglas est en tous points, remarquable...
Bibliographie
- Cinéma numéros 33
- Ecrans de France numéro 204
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Etudes Cinématographiques numéros 3/4
- Arts numéro 702
- Radio-Cinéma-Télévision numéro 467
- Les Lettres Françaises numéro 754
- Revue du Cinéma numéro 120
- Cahiers du Cinéma numéros 86 et 92
- Positif numéro 30
- Ciné-Revue numéros 37 (1957) et 40 (1958)
- Cinémonde numéro 1271
- Ciné-Révélation numéro 179
Critiques (Public)
La courette d'Einar sur les rames de son bateau demeure l'un des moments mémorable de cette fresque vitaminée, pleine de stéréotypes sur un peuple mal connu, uniquement opérationnel sur un bateau menaçant ou dans des orgies, bourrades apaisantes faisant suite aux combats.
Qu'importe, le tout est de se divertir de cette course-poursuite entre deux prétendants se haïssant à l’extrême, dans une intrigue assez mince, privée d'une véritable originalité.
C'est la période plein pot d'un acteur au top de sa forme physique, dont certains scénarii sont dans l'obligation de se subordonner.
La vision des "Vikings" s'avère dynamique et aérée. Ses péripéties, alternant entre guerres punitives et festivités, n'ont pas la rigueur d'un cours d'histoire, mais les ingrédients d'un divertissement particulièrement réussi.
Un bon récit d'aventures, sans prises de têtes, permettant de rester connecté, avec un acteur boosté régulièrement par des personnages revanchards aussi fougueux que solitaires.
JIPI