Le dénommé Roger Thornhill, sympathique et pacifique homme d'affaires travaillant dans le milieu de la publicité, a failli être victime d'une tentative d'assassinat perpétrée par les hommes de main d'un certain Philip Vandamm. Parallèlement, il est accusé du meurtre d'un diplomate. Une incroyable chasse à l'homme à travers une grande partie du territoire des Etats-Unis commence, avec d'étonnants rebondissements jusqu'au splendide dénouement final, libérateur pour notre infortuné héros...
>>> Un film-référence, un monument de l'histoire du cinéma, un petit bijou du 7e Art...
Bibliographie
- Films et Documents 1960/61
- Cinéma 60 numéro 42
- Contreplongée
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Dossier Ufoleis
- Saison 1960
- Revue du Cinéma numéro 462
- Studio numéro 40
- Cahiers du Cinéma numéros 102-295
- Sight and Sound (découpage)
- Télérama numéros 512-1693-2184-2346
- Le Canard Enchaîné du 30 juillet 2014
Critiques (Public)
Où au suspense se dispute le rire, "La mort aux trousses" est une oeuvre remarquable où un homme est accusé sans que l'on sache jamais pourquoi d'être un espion (?). Son identité propre s'embrouille bientôt à celle de ce dernier. Alors qu'il fuit pour un meurtre dont il est accusé, il rencontre sa future troisième épouse. Au terme d'aventures loufoques et drôles il lui confie, alors que tout deux sont prêts à s'écraser en une chute fatale sur la falaise rocailleuse, que ses deux premières épouses ont divorcé de lui car elles le trouvaient " casanier " ..... MILAN
"La mort aux trousses" est sans conteste le plus grand thriller de tous les temps ..... Avec, il faut l'avouer, Cary Grant le magnifique qui trouve ici l'un de ces plus grands rôles .....
Suspense ambulatoire magnifiquement jubilant.
G. FAUCON
19/20 : On passe toujours un bon moment avec ce couple d'enfer que forment Cary Grant en fils à maman qui vire séducteur et Eva Marie Saint "à damner un saint homme" (et une sainte femme par identification). De plus, on se trouve emberlificoté (mais de façon si habile que ça passe tout seul) dans une histoire à dormir debout (par exemple, la scène archi-connue de l'avion, et surtout la descente du Mont Rushmore avec toutes ces illustres figures présidentielles taquinées par nécessité). Tout cela défile comme le train et confirme que le Maître "Hitch" s'éclatait plus dans ses films que dans sa vie. Le making off regorge de détails insoupçonnés à ce propos, aussi malicieux que le film. Bref, on ne s'ennuie pas une seconde dans cette histoire même si on l'a déjà vue plusieurs fois. L.Ventriloque