AVENTURE DE CATHERINE C. - 1990

Titre VF AVENTURE DE CATHERINE C.
Titre VO L'ultima luna, L'avventura di Catherine C
Année de réalisation 1990
Nationalité France
Durée 1h40
Genre DRAME
Notation 14
Date de sortie en France 29/08/1990
Thème(s)
Milieu du cinéma (Cinéma français)
Jouve Pierre-Jean)
Réalisateur(s)
BEUCHOT Pierre
Chef(s) Opérateur(s)
KURANT Willy
Musique
PORTAL Michel MOZART Wolfgang Amadeus
Renseignements complémentaires
Scénario : Catherine Breillat,
Jean-Pierre Kremer et Pierre Beuchot .....
d'après le roman de Pierre-Jean Jouve :
"Aventure de Catherine Crachat".....
(condensé de "Hecate" et "Vagadu")
Distribution : Pari Films

Visa d'exploitation : 70 576
Acteurs
ARDANT Fanny
RENUCCI Robin
SCHYGULLA Hanna
WILMS André
GREILING Michael
DENICOURT Marianne
MARINI Marilu
CUAU Emmanuelle
OMINI Genevieve
NEIDHARDT Christophe
PATRICK Patti
MILLS Ronald
ROBIN Helene
ERICKSON Christian
PIWOWARCZYK Jerzy
GREISZER Pippi
GANTZER Marie-France
Résumé

Catherine C. est actrice et vit son épanouissement affectif dans des rencontres éphémères et sans lendemain. Cette détermination dans la "déconsidération" est le fruit d'un long cheminement passé où, cinq ans auparavant, elle a fait la connaissance d'un certain Pierre Indemini, un chercheur en mathématiques avec lequel s'établit une relation passionnelle inachevée. Plus tard, dans la capitale autrichienne, elle fait la connaissance de la baronne Fanny Felicitas...

>>> Film-puzzle, aux multiples combinaisons, fascinant et envoûtant...

Bibliographie
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 463
- Première numéro 162
- Studio numéro 41
- Positif numero 356
- Cahiers du Cinéma numéro 435
- Jeune Cinéma numéro 203
- Télérama numéros 2119-2170-HS janvier 1991
Critiques (Public)
D'un bon livre, on ne fait pas souvent un bon film. Le film de Pierre Beuchot, tiré de "Hécate" de Pierre Jean Jouve, le confirme. Bien emmenée par ses deux actrices, "Aventure de Catherine C." ne parvient pourtant pas à décoller d'une douleur filmée avec, certes, un sens certain du tragique féminin, mais d'une caméra trop maniérée, et avec des dialogues certainement superbes dans le texte de Jouve, mais qui ici aggravent encore davantage le maniérisme du film. Pour romantiques purs et durs et pour familiers de la dialectique de la passion et de la douleur.(DWG)