LE CHARME DISCRET DE LA BOURGEOISIE - 1972

Titre VF LE CHARME DISCRET DE LA BOURGEOISIE
Titre VO
Année de réalisation 1972
Nationalité France
Durée 1h45
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 15/09/1972
Thème(s)
Carrière (Jean-Claude)
Représentant(e)s du culte (Cinéma français)
Surréalisme et dadaïsme
Oscar du Meilleur Film en Langue Etrangère
Réalisateur(s)
BUNUEL Luis
Chef(s) Opérateur(s)
RICHARD Edmond
Musique
GALAXIE MUSIQUE
Renseignements complémentaires
Scénario et dialogues : Luis Bunuel
et Jean-Claude Carrière .....
Assistant-réalisateur : Pierre Lary
Distribution : 20th Century Fox

Visa d'exploitation : 39 910

Nota :

- Affiche du film d'origine polonaise .....

* Prix MELIES 1972 : Meilleur Film Français

* OSCARS 1973 : Meilleur film étranger

* BAFTA 1974 :
- Meilleur scénario
- Meilleure actrice dans un rôle principal Delphine SEYRIG
Acteurs
REY Fernando
FRANKEUR Paul
SEYRIG Delphine
OGIER Bulle
CASSEL Jean-Pierre
AUDRAN Stephane
BERTHEAU Julien
PICCOLI Michel
PIEPLU Claude
DOUKING Georges
MUNI
MAGUELON Pierre
MAISTRE François
VUKOTIC Milena
MUSSON Bernard
MAIONE Maria G.
LE BEAL Robert
BAHL Ellen
BENOIT Robert
MAILFORT Maxence
LARY Pierre
RISPAL Jacques
DEGRAVE Jean
BALTAUSS Christian
BAUCHET Olivier
DESCHODT Anne-Marie
FLOCHE Sébastien
DHERMAY Jean-Michel
JAEGER Claude
GUILLOTEAU François
MAHIEUX Alix
JARRY Jean-Claude
PARTY Robert
SOLER LEAL Amparo
REVEL Jean
VERNON Diane
Résumé

A cause d'un dîner prévu pour le lendemain, les Senechal, les Thevenot et l'ambassadeur de Miranda se lancent à la quête d'un plantureux repas. Le groupe s'enrichit d'un évêque et d'un colonel et les rêves de chacun se mêlent à la réalité jusqu'à la dérision la plus totale .....

Bibliographie
- Avant-Scène numéro 135
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1973
- Revue du Cinéma numéro 265
- Positif numéros 146 et 392/393
- Cahiers du Cinéma HS 1994
- Télérama numéros 2247 et 2329
- Ecran 72 (numéro 9)
Critiques (Public)
Bourgeois trafiquant, obsédé sexuel, évêque pique assiette, lieutenant de cavalerie en manque de confidences servent de garnitures à des dîners maniérés constamment interrompus par des manœuvres militaires, des veillées mortuaires ou des malfaiteurs déterminés. Des pistes réelles ou cauchemardesques se nourrissant de leur non sens dans des espaces sans cesse revus et corrigés réservés entre-autres aux revenants ensanglantés, livides et muets. Les tables se retrouvent soudainement sur des salles de théâtres contraignant un rentier impétueux à réciter devant un public impatient les différents engrenages de son existence. Luis Buñuel n’émeut pas outre mesure en filmant les délires de nantis en surdosage émotionnel bien au chaud dans des salons capitonnés mêlant sans aucun ordre précis rêves et réalités, fantasmes nocturnes et repas perturbés. Tout en restant respectueux envers cette débauche de déviations, il est conseillé de visiter davantage en amont la carrière de ce cinéaste surréaliste afin de se constituer une senteur plus importante. JIPI