LA DECHIRURE - 1984

Titre VF LA DECHIRURE
Titre VO The killing fields
Année de réalisation 1984
Nationalité Grande-Bretagne
Durée 2h18
Genre DRAME
Notation 16
Date de sortie en France
Thème(s)
Journalisme et presse (Cinéma britannique)
Cinéma britannique (ORIGINE)
Réalisateur(s)
JOFFE Roland
Chef(s) Opérateur(s)
MENGES Chris
Musique
OLDFIELD Mike
Renseignements complémentaires
Scénario : Bruce Robinson
d'après une histoire vécue .....
Produit par David Puttnam
Distribution : Warner Bros

Visa d'exploitation : 59 923

Nota :

- Oscars 1984 : du meilleur second rôle pour Haing S. Ngor .....

et de la meilleure photo .....
Acteurs
WATERSTON Sam
NGOR Haing S.
MALKOVICH John
SANDS Julian
NELSON Craig T.
GRAY Spalding
PATERSON Bill
FUGARD Athol
KENNEDY Graham
CHEY Katherine k.
PIERPAOLI Olivier
CHEY Edward Entero
JEFFERSON BYRD Thomas
SISOWATH Monirak
DTANGPAIBOOL L.
WHEELER Ira
MALAHIDE Patrick
HENRY David
CAMBELL Nell
HARRIS Joan
MERLIN Joanna
BARNEY Jay
LONG Mark
INABA Sayo
LENG Mow
SAR Chinsaure
SUON Thach
TRAN Hout ming
PAL Neevy
Résumé

Sydney Schanberg est correspondant du New York Times en mission au Cambodge pendant les affrontements avec les Khmers Rouges. Il travaille avec le journaliste Cambodgien Dith Pran. Lors de l'évacuation de la ville par les occidentaux, Dith est arrêté, envoyé dans un camp de travail. De son coté, Sydney se bat par ses écrits pour la cause cambodgienne. Dith Pran s'évade retrouvant Sydney à la frontière thaïlandaise.

>>> Une oeuvre superbe d'une gravité et d'une émotion exceptionnelles qui reste un grand moment de cinéma et le meilleur film du metteur en scène...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Ecran Fantastique numéro 57
- Saison Cinématographique 1985
- Positif numéro 288
- Cinématographe numéro 108
- Jeune Cinéma numéro 165
- La Revue du Cinéma numéro 402
- Cinéma numéro 135

Critiques (Public)
Pour ses deux premiers films, Roland Joffe nous sert des chefs-d'oeuvre... « La déchirure » n'est pas seulement une habile reconstitution historique des évènements au Cambodge, ou un superbe documentaire sur la souffrance de son peuple, c'est aussi un hymne à l'amitié entre les hommes. Cette histoire n'est pas seulement authentique : elle apparait vraie grâce à la remarquable réalisation et au jeu très naturel des acteurs. Un cauchemar s'achève sur une vision de bonheur, à l'inverse du second film de Joffe "Mission", lequel insiste sur la puissance latente mais réelle des pacifiques... H.G.LEE