CONAN LE DESTRUCTEUR - 1983

Titre VF CONAN LE DESTRUCTEUR
Titre VO Conan the destroyer
Année de réalisation 1983
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h41
Genre HEROIC-FANTASY
Notation 10
Date de sortie en France 29/08/1984
Thème(s)
Héroïc-fantasy
Sacrifices humains (tous pays confondus)
Immolation (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
FLEISCHER Richard
Chef(s) Opérateur(s)
CARDIFF Jack
Musique
POLEDOURIS Basil
Renseignements complémentaires
Scénario : Stanley Mann
d'après une histoire de Roy Thomas
et Gerry Conway .....
et le personnage créé par Robert E. Howard
Distribution : CIC
Produit par Raffaella De Laurentiis

Visa d'exploitation : 59 214
Acteurs
JONES Grace
SCHWARZENEGGER Arnold
CHAMBERLAIN Wilt
MAKO
WALTER Tracey
DOUGLAS Sarah
D'ABO Olivia
ROACH Pat
COREY Jeff
THORSEN Sven-Ole
FLEISCHER Bruce
MAYNE Ferdy
ANDRE THE GIANT
Résumé

Conan, le guerrier à la force prodigieuse, est chargé par la reine Taramis d'escorter la princesse Jehnna à travers un pays ennemi pour s'emparer de la corne magique de Dagoth. Il est aidé par le géant Bombaata, qui, le but atteint, essaie de le tuer avant de s'enfuir avec Jehnna. Pour profiter de la puissance de la corne, Taramis organise une cérémonie rituelle au cours de laquelle la belle doit être immolée. Conan sauve la jeune femme et le palais de la reine sera détruit...

>>> Une sequel de plus d'où seuls surnagent quelques effets spéciaux...

Bibliographie
Critiques (Public)
« Conan le barbare » (le film) était sombre, sanglant et absolument ridicule de par sa fixation obsessionnelle sur les bas instincts et l'apologie de la guerre. Mais il était encore préférable à cette séquelle qu'on devrait classer non pas "héroïc-fantasy" mais "merry melody". En effet, dans le genre comique, on fait difficilement mieux... Conan a changé par rapport au 1er film, il est plus ouvert et loquace, ce qui met en relief sa cervelle d'oiseau, car étant moins bestial, il a moins d'excuses... la contrepèterie éculée est ici parfaitement justifiée : on est en présence d'un connard bien barbant. Un bref coup d'oeil sur ses compagnons de route : un lâche qui plante ses lames par derrière, un magicien chinois qui se crispe comme un constipé lorsqu'il jette un sort, et G.Jones en amazone dont les cris de truie n'ont rien à envier a ceux de J.Capriati... la belle héroïne, soumise au début, change d'avis à la dernière seconde, et décide qu'elle ne veut pas mourir, plus pour elle-même que pour son peuple menacé. Une bonne note au passage pour les effets spéciaux (monstre et château de verre) de qualité, ce qui embellit heureusement cette farce préhistorique. H.G.LEE.