UN MERVEILLEUX DIMANCHE - 1947

Titre VF UN MERVEILLEUX DIMANCHE
Titre VO Subarashiki nichiyobi
Année de réalisation 1947
Nationalité Japon
Durée 1h48
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 14
Date de sortie en France 25/01/2017
Thème(s)
Cinéma japonais (ORIGINE)
Marché noir (tous pays confondus)
Baseball
Photos et photographes (Cinéma japonais)
Chauffeurs (de maître) (tous pays confondus)
Porcs / cochons
Ours
Singes (Autres pays)
Chameaux et dromadaires
Trains et gares (Cinéma japonais)
Ovins (tous pays confondus)
Balançoires (tous pays confondus)
Zoos
Réalisateur(s)
KUROSAWA Akira
Chef(s) Opérateur(s)
NAKAI Asakazu
Musique
HATTORI Tadashi
Renseignements complémentaires
Scénario : Keinosuke Uekusa
et Akira Kurosawa .....

Acteurs
NUMASAKI Isao
NAKAKITA Chieko
SUGAI Ichirô
ARIYAMA Midori
MORI Toshi
KOBAYASHI Tokuji
SHIMIZU Masao
HIDAKA Aguri
WATANABE Atsushi
SAKAI Sachio
NAKAMURA Zeko
NUMAZAKI Hisao
NAMIKI Ichiro
UTSUMI Toppa
MIZUTANI Shiro
Résumé

Après la fin de la Seconde Guerre Mondiale, dans un Japon exsangue, en proie à la récession économique, au palliatif marché noir et une persistance inflation galopante, deux amoureux, Yuzo et Masako, ne se voient que les dimanches avec seulement la maigre somme de trente-cinq yens à disposition pour leurs faméliques loisirs dominicaux. Leur pressante recherche se cristallise autour d'un appartement commun, au pire une spacieuse chambre à partager. En effet, elle habite chez sa sœur et lui est logé provisoirement chez un ancien camarade de régiment. Une visite au zoo de la capitale leur remémore la période bénie de l'enfance où les gamins avaient l'habitude de courir dans les vastes allées du jardin d'acclimatation, aujourd'hui bien rachitique. Une tentative pour acheter deux entrées leur permettant d'écouter un concert de Schubert se termine lamentablement par une bagarre avec des revendeurs de billets surtaxés. Ne restent finalement, en ces interminables périodes de disette et de privation que le rêve et l'imagination pour dépasser une situation souvent dramatique, songer au petit café que l'on aura bientôt en gérance ou feindre de diriger un orchestre philharmonique sous les applaudissements nourris d'un public conquis...

>>> Septième long métrage d'Akira Kurosawa qui, malgré une séquence finale dans l'amphithéâtre désert, sous les rafales d'un vent tenace, d'une excessive et inutile longueur, lestée de quelques scènes lourdement répétitives et surnuméraires, déroule une agréable histoire d'une infinie tendresse, qui par bien des côtés rappelle, avec bonheur et luminosité, certains personnages inoubliables des films de Frank Capra...

Bibliographie
- Cinéma numéro 83
- Positif numéros 22, 132 et 461/462
Avant-Scène numéros 628/629
- Jeune Cinéma numéros 132 et 371/372
Critiques (Public)