LE DEJEUNER SUR L'HERBE - 1959

Titre VF LE DEJEUNER SUR L'HERBE
Titre VO
Année de réalisation 1959
Nationalité France
Durée 1h32
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation
Date de sortie en France 11/11/1959
Thème(s)
Chèvres et boucs (tous pays confondus)
Insémination artificielle (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
RENOIR Jean
Chef(s) Opérateur(s)
LECLERC Georges
Musique
KOSMA Joseph
Renseignements complémentaires
Scénario et dialogues : Jean Renoir
Assistant-réalisateur : Marc Simenon
Distribution : Consortium Pathé

Visa d'exploitation : 22 360
Acteurs
MEURISSE Paul
ROUVEL Catherine
SARDOU Fernand
GRANVAL Jean-Pierre
MORANE Jacqueline
CHANDEAU Robert
GARY Micheline
O'BRADY Frédéric
DUMONT Ghislaine
NORDINE Ingrid
CASSAN Marguerite
DANNOVILLE Jacques
CLAUDIO Jean
JOURDAN Raymond
MIEGE Francis
BLAVETTE Charles
FONTEL Jacqueline
BRUNOT André
DUBOST Paulette
LEPROUX Pierre
HERBAULT Michel
BLAESS Régine
JOUBERT Claude
SALERNE Claude-Henri
PERICARD Michel
YOU M.
DUC Hélène
HUET Jacqueline
PERICARD Michel
THIERRY Roland
DUPRAZ
GAMY Miguel
LUCAS
BARBIER Gilette
ROUVEYRE Georges
SCAIA Richard
BANDECCHI Colette
KARENE Luc
Résumé

Un déjeuner sur l'herbe improvisé, au cours duquel, trois industriels européens, trois cousins, doivent se rencontrer dans le but de faire connaître à la presse locale et nationale l'invention de l'un d'eux : la fécondité artificielle. Mais au cours du déjeuner, son inventeur, un certain Etienne Alexis, perd la tête, et s'en prend à Nenette, une des servantes présentes .....

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinématographe numéros 73, 89
- Cinéma numéros 42, 117, 247/248, 276, 293
- Image et Son numéros 126, 269
- Saison Cinématographique 1960
- Positif numéro 535
Critiques (Public)
Le seul mérite du film est d'avoir révélé la sensualité de Catherine Rouvel, parfaite dans son rôle de fraiche beauté pas encore abîmée par le cinéma. Le reste est à l'avenant : personnages fantoches (même Paul Meurisse n'est pas crédible), situations vaudevillesques à la limite du graveleux. Et pourtant, il y avait une vraie photogénie du cadre (rappelant les peintures d'Auguste Renoir), gâchés par le discours approximatif du réalisateur. Dommage. AXEL.