TILAI - 1990

Titre VF TILAI
Titre VO Tilai
Année de réalisation 1990
Nationalité Burkina Faso / France / Italie / Suisse / Grande-Bretagne
Durée 1h21
Genre DRAME
Notation 15
Date de sortie en France 05/12/1990
Thème(s)
Cinéma burkinabé (ORIGINE)
Peine de mort
Réalisateur(s)
OUEDRAOGO Idrissa
Chef(s) Opérateur(s)
CHENIEUX Pierre-Laurent MONSIGNY Jean
Musique
IBRAHIM Abdullah
Renseignements complémentaires
Scénario : Idrissa Ouedraogo
Distribution : Pari Film

Visa d'exploitation : 71 720

Nota :

- Grand Prix au Festival de Cannes 1990
Acteurs
OUEDRAOGO Rasmane
CISSE Ina
BARRY Roukietou
OUEDRAOGO Assane
SIDIBE Sibidou
OUEDRAOGO Moumouni
BARRY Mariam
OUEDRAOGO Seydou
OUEDRAOGO Mariam
PORGO Daouda
WARMA Kogre
GANAME Mamadou
OUEDRAOGO Noufou
GANAME Amade
PORGO Issaka
SELINGA Moumoni
SIDIBE Adama
WARMA Boureima
OUEDRAOGO Fati
OUEDRAOGO Salif
PORGO Azeta
DERME Madi
OUEDRAOGO Amidou
Résumé

Après deux années d'absence, Saga, revient dans son village natal où il a la désagréable surprise de voir Nogma, sa promise, devenue la seconde épouse de son père. De colère et de tristesse, il quitte le village pour s'installer, non loin de là, dans une hutte abandonnée. Le sentiment qui lie Saga et Nogma va se concrétiser dans une relation charnelle rapidement découverte. Saga est condamné à mort et doit être exécuté par son propre frère. Ce dernier l'épargne...

>>> "Tilai", la loi. Une oeuvre universelle d'une étonnante beauté...

Bibliographie
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 466
- Première numéros 158-165
- Studio numéros HS 38-44
- Positif numéro 358
- Cahiers du Cinéma numéros 433-438
- Jeune Cinéma numéro 205
- Télérama numéros 2134-2194
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Idrissa Ouedraogo persiste et signe. Il nous livre son drame d'une main calme et sereine, on pourrait même dire nonchalante. Le problème est que le réalisateur burkinabé se renouvelle très peu et utilise sans le changer d'un iota le langage qui avait fait le bonheur de "Yaaba". Malheureusement, il manque ici la spontanéité de "Yaaba" et sa chaleur, comme il manque la tension qu'on aurait pu attendre d'un tel drame. Et l'on reste suspendu, abandonné à l'aridité africaine. (D.W.Graphite)