Tonitruante rencontre entre le fort Edward Lewis, un puissant hommes d'affaires, spécialisé dans le rachat des entreprises en difficultés financières, et la pétulante Vivian Ward, une prostituée d'Hollywood. Tout commence, lorsque Edward se perd au volant de "sa" puissante voiture et que Vivian lui propose de le guider pour retrouver son hôtel, moyennant une rétribution de dix dollars. Bientôt, nos deux "fonceurs" vont devenir inséparables et finalement se rapprocher...
>>> Délicieusement drôle avec une Julia Roberts décidément excellente...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 466
- Première numéro 165
- Studio numéro 44
- Positif numéro 359
- Télérama numéros 2133-2230-2304
- Nouvel Observateur numéro 1531
Critiques (Public)
S'il s'était pris au sérieux comme la plupart de ses homologues américains ce conte de fées aurait été aussi creux que faux. Mais voilà, "Pretty woman" sait bien qu'elle ne peut nous faire prendre des vessies pour des lanternes. Alors, elle joue cartes sur table, et c'est bien. "Pretty woman" dit ce que le cinéma hollywoodien maîtrise si bien: le rêve d'une autre vie. Julia Roberts et Richard Gere sont ce rêve là, Cendrillon et son Prince charmant. Puis arrive minuit et il faut rentrer. On rentre, encore sous le charme. C'était bien.
(Graphite)
Julia Roberts est absolument à croquer dans ce rôle qui semble taillé à sa mesure. Le hasard provoque la rencontre de deux antipodes... La chaleur, la simplicité et la folie de cette jeune prostituée séduisent tous les hommes qui l'approchent de l'ami qui tente d'en abuser au maître d'hôtel qui lui apprend comment se tenir à table... Une délicieuse histoire où le monde artificiel de l'habit qui fait le moine, d'une société chic et artificielle, se heurte à la franchise d'une jeune femme qui fut toujours aspirée vers la médiocrité avant d'en sortir définitivement comme dans tout conte de fée qui se respecte...
MILAN
J'ai trouvé ça à chier; c'est nul; il ne se passe rien; la meuf est moche; une connerie qui deshonore le cinéma, le vrai cinéma.
J'aimerais savoir comment on peut mettre 15 à un navet de ce genre ..... ce film est nul. Aucun realisme. Rien. On est définitivement achevé par la débilissime fin, digne d'un dessin animé de .......
Bien sûr, c'est un conte de fées, et alors ??? On passe un très bon moment et Julia Roberts est drôle et délicieuse.
Mais qui est le critique qui permet de donner son avis après le résume? Je veux un nom et une adresse pour lui envoyer une lettre d'insulte ..... c'est le monde à l'envers: 7/20 pour "Sailor et Lula" et 15/20 pour une connerie sans nom reflétant le niveau mental de ces chers Américains qui n'ont rien compris à la vie, qui croient qu'on a tout avec l'argent et adorent les contes de fées même s'ils n'existent qu'au cinéma. Ils sortent rassurés en pensant qu'on peut arriver en haut en partant de rien. J'ajoute un machisme et un étalage du parfait phallocrate. Que ferait Gere sans son fric ? Dernier détail, les jambes ne sont pas celles de Juju Roberts. Bye
Richard Gere a un beau cul, Julia Roberts de belles fesses et tous les deux jouent fort bien. Un film chiraquien avant l'heure. A redécouvrir d'urgence ! POMME PIDOUX
Ndlr : avec ou sans les pépins ?