DANCING MACHINE - 1990

Titre VF DANCING MACHINE
Titre VO
Année de réalisation 1990
Nationalité France
Durée 1h50
Genre DRAME
Notation
Date de sortie en France 28/11/1990
Thème(s)
Danse (Cinéma français)
Decoin (Didier)
Réalisateur(s)
BEHAT Gilles
Chef(s) Opérateur(s)
ALCAINE José Luis
Musique
CERRONE Jean-Marc
Renseignements complémentaires
Scénario : Paul-Louis Sulitzer,
Loup Durand et Marc Cerrone .....
Adaptation : Didier Decoin
et Alain Delon .....
d'après une idée originale de Marc Cerrone
Distribution : AFMD

Visa d'exploitation : 72 095
Acteurs
DELON Alain
BRASSEUR Claude
DUPOND Patrick
DE HAVILAND Consuelo
SAURA Marina
KINZINGER Tonya
CHICOT Etienne
AIERRA Inaki
PISIAS Jacques
SULITZER Paul-Loup
GOULART DE FARIA Susana
FILALI Marian
GORDINE Sacha
Résumé

Michel Eparvier, un inspecteur de police, mène l'enquête sur la mort mystérieuse de trois danseuses, dans l'atelier de danse que dirige le dénommé Alan Wolf. Rapidement les soupçons se portent sur ce dernier, en fait, l'ancien mari de la directrice de l'établissement, la délicieuse Ella Cebrian. Mais le suspect ne peut être incriminé de ces meurtres et la police est finalement obligée de le relâcher...

>>> Rien à retenir de cette histoire tirée par les cheveux et platement filmée...

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1990
- Revue du Cinéma numéro 467
- Première numéro 166
- Studio numéros 37-42-44-45
- Positif numéro 359
- Télérama numéros 2135-2191-2242
Critiques (Public)
Aux antipodes de la pirouette aérienne, "Dancing Machine" est un faux-pas magistral. Le scénario et le montage, risibles, semblent uniquement destinés à la gloire inutile d'un Delon dégoulinant de prétention ou encore aux débuts improbables d'un Patrick Dupont pathétique. S'il avait fallu faire la contre publicité du cinéma ou de la danse, Behat et Delon n'auraient pas pu mieux faire. Insignifiant. (D.W.Graphite)

14/20 : Une ambiance de danse esthétique mais jouée en "surcoach" avec un Patrick Dupont qui commence un peu trop prétentieux (ça s'arrange heureusement ensuite). De très très grosses ficelles et pourtant un cadre attachant que cette petite place ronde ! Le pire est ce revirement pas du tout crédible sur les toits, ces larmes de crocodiles de notre Delon en danseur tortionnaire pour raison sentimentale (peuh !)... Malgré ces handicaps, quelques bonnes réparties, les piques de Monsieur le Divisionnaire et Brasseur par exemple. Divertissant pour les jours d'indulgence. L.Ventriloque