Les grands pontes de la police sont sur les dents, après un acte de terrorisme, dans un grand magasin parisien. Marroux, le directeur de la DST, a pris l'affaire en main. "Netchaiev" un ancien révolutionnaire, (le propre fils de Marroux) tué dans une sombre affaire à Gibraltar, refait mystérieusement surface. Quel est son but ? Son rôle exact dans les attentats qui se préparent ? Et pourquoi veut-il retrouver ses anciens compagnons, aujourd'hui rangés dans une tranquille normalité ?
>>> Qui a dit que c'était un bon film ?
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1991
- Revue du Cinéma numéro 469
- Première numéro 164
- Studio numéros 37-41-46
- Positif numéro 361
- Cahiers du Cinéma numéro 440
- Télérama numéros 2142-2193-2234-2339
Critiques (Public)
Le Papet est de retour, et Netchaiev aussi, paraît-il. Eh bien, ils auraient pu s'en passer : certaines retraites devraient être consacrées à un repos bien mérité. Sans quoi, on bande mou et poussif, n'est-ce-pas, monsieur Deray ? Ne parlons (parce qu'on l'aime trop bien pour lui dire des méchancetés) de Vincent Lindon, qui visiblement n'avait rien à faire dans cette galère où seule Mireille Perier vient apporter un peu de fraîcheur et de baume au coeur des amateurs de bon cinéma.
OLGA VON CLAP