NETCHAIEV EST DE RETOUR - 1990

Titre VF NETCHAIEV EST DE RETOUR
Titre VO
Année de réalisation 1990
Nationalité France / Italie / Suisse
Durée 1h50
Genre POLICIER
Notation 6
Date de sortie en France 23/01/1991
Thème(s)
Terrorisme (Cinéma français)
Semprun (Jorge)
Réalisateur(s)
DERAY Jacques
Chef(s) Opérateur(s)
ANGELO Yves
Musique
BOLLING Claude
Renseignements complémentaires
Scénario : Jacques Deray
et Dan Frank .....
d'après le roman de Jorge Semprun
Distribution : Bac

Visa d'exploitation : 68 753
Acteurs
MONTAND Yves
LINDON Vincent
MIOU-MIOU
CHESNAIS Patrick
ROSI Carolina
DAUPHIN Jean-Claude
LEROUX Maxime
LEROY Philippe
PERRIER Mireille
WINLING Jean-Marie
PORRAZ Jean-Luc
INFANTI Angelo
SBRAGIA Mattia
DARRIEU Gérard
DEBAUCHE Pierre
BOUILLETTE Christian
KOUKOUI Tola
ACKER Natacha
KHAYAT Serge
GUIARD Isabelle
DADOUN FERNANDEZ Rosita
GAUTIER Martine
AUZEL Maurice
HENNEQUIET Margaux
MARSDEN Claire
VINCENT Agnés
CABRE Florence
VERNER Jean-Michel
HELIES Philippe
EVELY Yannick
DESAILLY Nicole
ANDREU Guillemette
COUSTAUD Eric
MARJAC René
BROISSIAT Ludovic
HENING Christian
BOUSSELIOU Alain
CARLIEZ Claude
BARBIER Alain
ROBERT Lionel
Résumé

Les grands pontes de la police sont sur les dents, après un acte de terrorisme, dans un grand magasin parisien. Marroux, le directeur de la DST, a pris l'affaire en main. "Netchaiev" un ancien révolutionnaire, (le propre fils de Marroux) tué dans une sombre affaire à Gibraltar, refait mystérieusement surface. Quel est son but ? Son rôle exact dans les attentats qui se préparent ? Et pourquoi veut-il retrouver ses anciens compagnons, aujourd'hui rangés dans une tranquille normalité ?

>>> Qui a dit que c'était un bon film ?

Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1991
- Revue du Cinéma numéro 469
- Première numéro 164
- Studio numéros 37-41-46
- Positif numéro 361
- Cahiers du Cinéma numéro 440
- Télérama numéros 2142-2193-2234-2339
Critiques (Public)
Le Papet est de retour, et Netchaiev aussi, paraît-il. Eh bien, ils auraient pu s'en passer : certaines retraites devraient être consacrées à un repos bien mérité. Sans quoi, on bande mou et poussif, n'est-ce-pas, monsieur Deray ? Ne parlons (parce qu'on l'aime trop bien pour lui dire des méchancetés) de Vincent Lindon, qui visiblement n'avait rien à faire dans cette galère où seule Mireille Perier vient apporter un peu de fraîcheur et de baume au coeur des amateurs de bon cinéma. OLGA VON CLAP