LA CONTRE-ALLEE - 1990

Titre VF LA CONTRE-ALLEE
Titre VO
Année de réalisation 1990
Nationalité France
Durée 1h23
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 12
Date de sortie en France 30/01/1991
Thème(s)
Prostitution (Cinéma américain)
Enfance (Cinéma français)
Réalisateur(s)
SEBASTIAN Isabel
Chef(s) Opérateur(s)
KURANT Willy
Musique
VASSEUR Didier
Renseignements complémentaires
Scénario : Isabel Sebastian
Adaptation et dialogues : Isabel Sebastian,
Jean-Paul Lillienfeld et Alain David .....
Distribution : Films Ariane

Visa d'exploitation : 72 846
Acteurs
CELLIER Caroline
MAILLAN Jacqueline
PERRIN Jacques
SCHELLENBERG Pénélope
GHINI Massimo
COVILLAULT Jennifer
PERRIN Chantal
CHAMARANDE Brigitte
MURAT Stéphanie
FLOERSHEIM Patrick
GRECAULT Jean
LABORIE Eric
CLEYET Gilles
KORCHIA Henri-Paul
RAGUENAU Thierry
BOUREL Jean-Loup
DEHESDIN Philippe
BLEYNIE Nathalie
JEANNERET Laurence
ROBINO Barthelemy
SEBASTIAN Marie
PERRIN Mathieu
VERLIER Karine
MISTRETTA Italo
SERGUE Gérard
DOLLY
DIES Sylvie
GALINIER Catherine
FROMENT Brigitte
DANCOISNE Alain
DUCHEZEAU Michel
CHAROY Colin
BRULIN Vincent
GONZALEZ Patrick
BARBOZA Eric
FABRE Jacques-Henri
DIAZ Didier
HOCQUARD Jean-François
SALESS Richard
HERAUD François
RODRIGUEZ J.marie
Résumé

Négligée par un père journaliste trop souvent absent de par sa profession, Marie, une jeune adolescente de douze ans, fait, la rencontre de Lilas, une prostituée qui habite en face de chez elle, avenue Foch. La gamine, intriguée par les activités de sa voisine, la bombarde de nombreuses questions. Une certaine amitié naît entre elle. Lilas en vient à se remettre en question et songe à quitter le "turbin"...

>>> Sympathique réminiscence d'un certain cinéma populaire français des années 1930, un film peut-être inégal, mais parfois touchant grâce, et surtout à Caroline Cellier.

Bibliographie
- Saison Cinématographique 1991
- Revue du Cinéma numéro 468
- Première numéro 167
- Studio numéro 46
- Positif numéro 361
- Cahiers du Cinéma numéro 440
- Jeune Cinéma numéro 207
- Télérama numéros 2142-2196-2324
Critiques (Public)
Lorsqu'un cinéaste décide de mettre en scène ses fantasmes (ce qui est fréquent), cela peut donner des résultats sulfureux. Ou faire "flop" lamentablement. Tout dépend des fantasmes, n'est-ce-pas ? Ceux d'Isabelle Sebastian sont du genre nunuche : fascination pour la prostitution, rapport vice-innocence, instinct maternel, regard d'enfant sur monde adulte et tout le reste. Logiquement une oeuvre ronronnante de gentillesse naïve, qui tient absolument à nous faire prendre des vessies pour des lanternes. "La contre-allée" est une voie àne pas emprunter. (Graphite)