L'agent numéro un des services secrets français de la DGSE, le turbulent capitaine Philippe Bouvier, doit démanteler un trafic international d'armes en tous genres. La mission a pour nom de code : "Opération Corned Beef". Pour cela, il fait placer un micro dans la bague de la secrétaire d'un haut membre de l'administration, qui est soupçonné d'implications dans l'histoire. Quand la propre fiancée de notre agent, surnommée Squale, se retrouve mêlée à l'affaire, la situation se complique fort .....
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Saison Cinématographique 1991
- Revue du Cinéma numéro 469
- Première numéro 167
- Studio numéro 46
- Positif numéro 362
- Cahiers du Cinéma numéro 441
- Télérama numéros 2144-2199-2302
- Nouvel Observateur numéro 1529
Critiques (Public)
Une comédie française grosse et grasse, faussement impertinente, gratuite (sauf le ticket d'entrée, malheureusement) et jonchée de pitreries. Il reste, dans cette triste farce, quelques bons numéros de comédiens. Ce sont les habituelles circonstances atténuantes. Il serait complaisant de les octroyer. Si on le fait, c'est moins pour sauver le film que pour remercier les acteurs pour la peine (inutile) qu'ils se sont donnée.
(D.W.Graphite)
Jean-Marie Poiré enfin de retour et quel retour! Un film qui a pour mission : faire rire à tout prix et c'est réussi! Deux acteurs incomparables pour le comique : Jean Reno et Christian Clavier, un duo réussi qui marche à merveille ... Enfin une bonne détente, sans blagues réchauffées ....... merci, messieurs ....... avis : pour tous, sauf les grincheux.
Le début de la fin pour la carrière cinématographique de Clavier (et par extension, de toute l'équipe du Splendid). Cette nullité n'est supportable que grâce au charisme de Reno. Poiré commençait ses "expérimentations" filmiques qu'il continuera par la suite dans les monstrueusement nuls "Visiteurs", pour toucher définitivement le fond avec "Ma femme s'appelle Maurice". Prendre une retraite anticipée nous aurait évité une telle déchéance. Daniel Guerini.
C'est plutôt l'opération "corned de beauf". Laurent Houtan