LA SALAMANDRE - 1971

Titre VF LA SALAMANDRE
Titre VO
Année de réalisation 1971
Nationalité Suisse
Durée 2h08
Genre COMEDIE DRAMATIQUE
Notation 15
Date de sortie en France 27/10/1971
Thème(s)
Cinéma suisse (ORIGINE)
Milieu ouvrier (Autres pays)
Tramways
Cordonniers, savetiers, chausseurs et autres bottiers (tous pays confondus)
Racisme (Cinépa suisse)
Réalisateur(s)
TANNER Alain
Chef(s) Opérateur(s)
BERTA Renato BERNARDONI Sandro
Musique
MORAZ Patrick
Renseignements complémentaires
Scénario : Alain Tanner
et John Berger .....
Produit par Svocine et Gabriel Auer
Distribution : Nef Diffusion

Visa d'exploitation : 38 815

Nota : pour Anne-Marie Michel, uniquement la voix .....
Acteurs
OGIER Bulle
BIDEAU Jean-Luc
DENIS Jacques
JEQUIER Marblum
ALAIN Véronique
VIDAL Marcel
STUFFEL Daniel
FLEURY Violette
CATTON Dominique
PRECHAC Mista
NATHALIE (2)
WALKER Pierre
BORDIER Antoine
CHRISTOFFE Janine
ROBERT Marcel
BERTHET Claudine
CHENEVIERE Guillaume
VIZNER Jaroslav
VIALA Michel
MALAN J-Christophe
BRUN Olivier
SIMON François
SCHMIDT Andre
CHOLLET Denise
SAVIANE Dellya
NICATI Philippe
NICATI Adrien
EPIERRE Germaine
LANZ Claudiane
MORIAUD Jean-Pierre
LECOULTRE Alain
HOLDENER Pierre
FRIEDRICH Jane
MICHEL Anne-Marie
Résumé

L'oncle de Rosemonde se blesse en nettoyant son fusil et accuse la jeune femme qui bénéficiera tout de même d'un non-lieu. Pierre et Paul, amis de longue date, doivent constituer un scénario pour la télévision à partir de ce fait divers récent. Ils décident de rencontrer la jeune femme qui travaille comme ouvrière dans une fabrique de saucisses, de saisir ses motivations et le sens de sa profonde révolte...

>>> Deuxième oeuvre d'Alain Tanner, un film qui fit date dans l'évolution du cinéma suisse. Bulle Ogier et Jean-Luc Bideau sont, en outre, plutôt remarquables...

Bibliographie
- Positif numéro 135
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Avant-Scène numero 125
- Télérama numéro 1138
- Cinéma 71 numéro 161
- Télé-Ciné numéro 179
Critiques (Public)
Un constat post-soixante-huitard sans illusion sur le processus de mécanisation et de "morcellisation" de l'individu au profit d'une machine économique toujours plus envahissante et impérieuse. Quelques dizaines d'années plus tard, avec un marché du travail qui ne permet plus de respirer un peu en changeant d'exploiteur à sa guise, j'imagine Rosemonde suivant les pas d'une Florence Rey.
"Y a trop de gens à qui la liberté d'être un peu dans leur peau est systématiquement refusée" dixit Paul, (1h45'26).
En plus c'est souvent drôle, avec des acteurs convaincants et sympathiques.