Nous sommes en 1941. Le dénommé Barton Fink, jeune écrivain dramaturge new-yorkais vient d'obtenir un estimable succès pour sa dernière pièce de théâtre. C'est la porte ouverte pour Hollywood où il est engagé comme scénariste, afin d'écrire un synopsis sur un film de catch dont l'acteur principal est Wallace Beery. Descendu dans un discret hôtel, à la recherche d'une inspiration qui se fait attendre, Barton Fink va faire la connaissance d'un imposant voisin de palier, au passé fort trouble .....
>>> Une oeuvre férocement jubilatoire !
Bibliographie
- Saison Cinématographique 1991
- Cinéma numéro 478
- La Revue du Cinéma numéros 473-474
- Saison Cinématographique 1991
- Première numéros 171-175
- Studio numéro 54
- Studio H.S. 50/1991
- Cahiers du Cinéma numéros 445-448
- Positif numéros 365/366
- Positif numéro 367
- Positif H.S. mai 2007
- Télérama numéros 2176-2260
- Télérama HS. 1992
- L'Express - Cahier numéro 27/1994
- Avant-Scène numéro 406
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Un film ayant obtenu la Palme d'Or a Cannes en 91 se doit au moins de nous faire avaler les 40 francs de la place de cinéma. "Barton Fink" n'a pas même rempli ce rôle : l'originalité de la chute du film ne paraît absolument pas naturelle, mais au contraire, semble exister que dans l'unique but de surprendre le spectateur endormi et déçu. Un symbolisme trop présent est à la limite de la compréhension et il manque une certaine structure a l'histoire. Seul un certain humour et une prestation étonnante redonnent un semblant de piquant au film ......