L'OMBRE D'UN DOUTE - 1943

Titre VF L'OMBRE D'UN DOUTE
Titre VO Shadow of a doubt
Année de réalisation 1943
Nationalité Etats-Unis
Durée 1h43
Genre THRILLER
Notation 17
Date de sortie en France 26/09/1945
Thème(s)
Trains et gares (Cinéma américain)
Chefs-d'oeuvre (Policier)
Wilder (Thornton)
Poisons (Cinéma américain)
Champignons (tous pays confondus)
Réalisateur(s)
HITCHCOCK Alfred
Chef(s) Opérateur(s)
VALENTINE Joseph
Musique
TIOMKIN Dimitri
Renseignements complémentaires
Scénario : Thornton Wilder, Alma
Reville et Sally Benson .....
d'après un sujet de Gordon Mc Donnell
Distribution : Universal

Visa d'exploitation : 3035

Nota : Alfred Hitchcock joue au bridge dans le train pour Santa Rosa avec les treize piques dans sa main .....
Acteurs
COTTEN Joseph
WRIGHT Teresa
FORD Wallace
TRAVERS Henry
CAREY Macdonald
COLLINGE Patricia
CARSON Frances
GRIFFIES Ethel
CRONYN Hume
WONACOTT Edna May
BATES Charles
SHAW Janet
JEWELL Estelle
MALYON Eily
MUSE Clarence
BACON Irving
QUARRY Robert
Résumé

A Santa Rosa, l'assassin de plusieurs veuves argentées retourne dans sa famille. Sa petite nièce qui l'adore finira par le soupçonner fortement de ces meurtres...

>>> Un des films préférés du grand "Alfred" qui distille une remarquable et permanente atmosphère de suspense. Avec le sublime Joseph Cotten dans son premier film avec le cinéaste et qui sera suivi six ans plus tard par "Les amants du capricorne". A voir pour la finesse psychologique et l'incroyable machiavélisme de son personnage principal...

Bibliographie
- L'Ecran Français numéro 14
- Fiche de Monsieur Cinéma
- Cinéma numéros 64, 246, 324 et 340
- Les Inrockuptibles numéro 259
- Positifs numéros285 et 288
- Saison Cinématographique 1945/47 et 1971
- Télérama numéros 702-826-1810-2279
- Cinématographe numéro 48 
Critiques (Public)
Un grand chef-d'oeuvre d’Alfred Hitchcock. Joseph Cotten campe parfaitement cet assassin et Teresa Wright est excellente. De plus, le film décrit avec rigueur l'atmosphère d'une petite ville de province. La réalisation est sans faille, comme toujours.  Loïc Pessaud, cinéphage.