Scénario : Danièle Thompson
et Claude Pinoteau .....
Montage : Marie-Josèphe Yoyotte
Dialogues : Danièle Thompson
Chanson : "Dreams are my reality"
Distribution : Gaumont
Les premiers émois d'une jeune lycéenne parisienne de quatorze ans, prénommée Vic, à travers le microcosme d'une famille française bourgeoise et "moderne"...
>>> Du cinéma passe-partout, pour tous âges et tous tempéraments, respirant par-delà le clinquant d'une réalisation soignée, l'artificiel, l'encaustique, le propre et l'aseptique. Pour tous publics évidemment. La première étape de Pinoteau dans sa longue et mortelle chute dans l'univers du cinéma commercial...
Bibliographie
- Fiche de Monsieur Cinéma
Critiques (Public)
Un film plutôt destiné aux adolescents, mais qui est tout de même intéressant. Surtout en ce qui concerne les rapports famille/adolescent et les premières conquêtes amoureuses
C'est un film absolument génial, avec une remarquable actrice : Sophie Marceau
C'est un film extrêmement bien réussi qui explique très bien ce que peut faire un adolescent amoureux et surtout fait intervenir une véritable actrice, qui est douée, belle, et romantique, il s'agit bien sûr, de Sophie Marceau.
L'un des plus gros navets du cinéma français, qui a permis a Sophie Marceau, de devenir la porno star que l'on sait aujourd'hui .....
Ce film n'arrive pas à la cheville de l'incroyable "N'oublie pas ton père aux vestiaires" du génial Richard Balducci. Le charmant minois de Sophie Marceau n'égalera jamais la performance hors norme de l'immense Manuel Gelin. Pour voir un film d'une véracité et d'une telle force narrative, il faudrait 10 films comme "La boum". Antoine Malibran
Tout apparement a été soupesé pour en faire un succès commercial. Le pire est d'en avoir fait un univers aseptisé -du moins au niveau des adultes- en faisant passer la pilule avec des acteurs ausi rôdés et sympathiques que Claude Brasseur, Brigitte Fossey ou Denise Grey (à l'aube d'une 2ème carrière) et même Lavanant (dans un numéro digne des productions des années 50)-
Pour les ados, malgré tout, c'est assez juste car les critiques ne semblent pas se rappeler qu'il était important d'être invité dans une boum à l'âge adolescent (pas encore sorti de l'enfance et pas encore adulte) pour rentrer dans la norme.
Ceci dit Sophie Marceau, à cette époque assez sympathique, aurait dû prendre sa retraite après "La Boum 2" (comme pour d'autres raisons d'autres espoirs du cinéma, infiniment plus touchantes : Eléonore Klarwein ou Ariel Besse par exemple). Elle nous aurait laissé des regrets et on aurait pas eu à la subir à l'âge adulte.
AXEL.