Ce film est l'image la plus noire qu'il peut être tracée de l'homme : son besoin de tuer, la mascarade du monde qui se dit "civilisé" avec ses hommages rendus aux morts, et ses mille façons d'en venir à occire son prochain, le blesser, le torturer, le déchiqueter. Alternant des images "réelles" de guerres, de mises à mort avec de fort étonnantes peintures de Roland Topor, le metteur en scène parvient à donner, par ce procédé, une puissante universalité à son sujet et son propos...
>>> Bienheureuse conjonction entre Laloux, Sternberg et Topor !
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