A Londres, en 1866, Basil Hallward peint un fascinant tableau représentant le portrait d'un dandy de l'époque, un certain Dorian Gray. Ce dernier fait la connaissance de Sybil Vane, chanteuse de cabaret qui finira par s'empoisonner lorsque Gray lui annonce leur brutale rupture. Le jeune homme se lance alors dans une vie de débauches et de turpitudes tout en gardant mystérieusement une apparence de fraîcheur et de jeunesse toujours intacte. En fait, ayant pactisé avec les forces du Mal, Dorian Gray ne fait que rejeter sa propre décrépitude sur son incroyable double du portrait.
Film admirable et d'une beauté plastique époustouflante. Découvert à la télévision en 1975 (à 15 ans), j'avais le lendemain acheté le roman, vu tous les films de George Sanders. Bref, je suis devenue cinéphile !