Il est de notoriété ciné-publique que les dernières réalisations du septuagénaire Henri Decoin sont d'une lamentable indigence, entre profonde sénilité et gâtisme affirmé. Cette mascarade cinématographique se positionne et se cantonne comme indigne de ses mises en scène passées. Autant revoir le chef-d'oeuvre de
Michael Curtiz se passant au même endroit, durant la même dramatique période historique.