Critique de
AXEL
Julien Duvivier, hésitant entre le thriller et le fantastique n'a pas réussi l'adaptation de l'excellent roman de John Dickson Carr. Et pourtant le film reste une curiosité : de bons acteurs, de belles images en noir et blanc (la Forêt- Noire), une atmosphère oppressante... Le résultat serait assez tiède mais la cultissime Edith Scob transcende le film par sa présence étrange et poétique, éthérée et lumineuse à la fois.On songe alors au chef-d'oeuvre qu'aurait pu réaliser Georges Franju s'il avait été aux commandes...