L'oeuvre est construite en deux parties bien distinctes, intégrant adroitement la structure du "film dans le film", et nous montre durant les quarante premières minutes le désespoir d'une femme-médecin qui vient de perdre son mari, pour finalement conclure à une simple projection cinématographique, présentée devant un public parfaitement insipide, d'où seul émerge un spectateur plus ou moins endormi dont les pérégrinations ultérieures feront l'objet de la seconde partie du film.