Seconde mise en scène d'Elio Petri qui scandaleusement ne fut distribuée dans l'hexagone que 50 années après sa réalisation, dépeignant avec humour et constance, une forme subtile d'aliénation au travail face aux étouffantes nécessités économiques de la survie qui laissent un arrière-goût d'amertume et de fatalisme que chacun de nous tente de contourner, détourner, atténuer d'une souvent dérisoire façon.