Critique de
ELIE ELIE
Peut-être le film le plus ouvertement "féministe" de Mizoguchi, une oeuvre par ailleurs esthétiquement très intéressante : extérieurs (néo)réalistes et intérieurs expressionnistes. Avec un épilogue d'un christianisme échevelé (sacrificatio et travelling ascendant sur vitrail de la vierge à l'enfant). Et comme toujours chez Mizoguchi, une interprétation superbe.