Comme souvent, l'omnipotent James Cagney phagocyte l'ensemble de la mise en scène, vibrionnant à qui mieux mieux, avec une incroyable faconde, un brin de galanterie, un zeste de machisme, dans une œuvre somme toute sympathique dont nous ne retiendrons que le frais minois de Patricia Ellis et quelques plans documentaires sur l'univers technique et professionnel d'un journal.