Ulrich Seidl fait graviter autour de nos deux septuagénaires en gestation relationnelle, une incroyable faune de personnages hétéroclites et bancals, oscillant entre profonde bêtise congénitale et sous-jacente débilité comportementale, une sorte de foire du Trône de la misère et de la crétinerie, un incroyable film d'horreur et de monstruosité mentale, à se foutre sous un train, en toute panique ou sérénité, selon.