Un festival Ernst Lubitsch, habilement charpenté sur la solide grammaire théâtrale de la farce, avec ses imparables quiproquos, ses subtils sous-entendus et ses délicieux impairs, entre facétieuse intrigue sentimentale et ravissante comédie de moeurs qui ne compte pas moins de cent dix-huit portes ou fenêtres, franchies (réellement ou par le regard) par les différents protagonistes, en verve et en vrac.