Katia est au service d'une femme écrivain en qualité de dactylo. Elle a épousé le fils de sa patronne et mène une existence terne à Moscou. Pendant un séjour à la datcha familiale, elle se plonge dans une liaison passionnée avec le beau jardinier.
Les références tchekhoviennes et dostoïevskiennes ne sont que plagiat éhonté dans ce film qui véhicule tous les clichés des mélodrames les plus sordides. L'érotisme (voulu torride) laisse de glace. Le tout est plat, pénible et profondément ennuyeux.