Critique de
ELIE ELIE
Côté esthétique, Jane Campion a fait école, au moins en Nouvelle-Zélande. Œuvre très riche, même luxuriante, "Heavenly creatures" laisse néanmoins un arrière-goût pas forcement agréable. A cause de sa dureté, de l'inéluctabilité de son dénouement. A ne pas mettre entre toutes les mains, assurément.