Spécialiste du miroir aux alouettes, Roger Vadim nous propose une de ses oeuvres brillamment mise en scène, avec de superbes photos, un montage sans défaut, des éléments décoratifs de valeur, mais finalement d'une parfaite viduité. De plus, le dernier quart d'heure est parfaitement décevant et la scène rédemptrice illogique au possible et lourdement sacralisée. Autant relire le roman !