Genre
DRAME
Nationalité
États-Unis231
Titre VO : City girl
Autre-Titre VF : La bru
Autre-Titre VO : Our daily bread
Durée : 1h17
Date de sortie en France : 08/08/1930
Date de sortie en France : 08/08/1930
Thèmes
Dialogues
:
Elliot LESTER
Inspiration
:
D'après la pièce de théâtre "The mud turtle" de Elliot LESTER
Prise de vues
:
Ernest PALMER
Interprétation
Nota
La version musicale de Christopher Caliendo date de 2010.
Résumé
If you marry the one you are thinking, off all will be well...
1929, dans le milieu rural de l'Oregon, alors que la dramatique crise boursière est dans ses premiers balbutiements, le fermier Tustine envoie son fils Lem à la bourse du commerce de Chicago pour négocier au meilleur prix sa prochaine récolte de blé. Le jeune homme fait la connaissance dans un snack-bar d'une sympathique serveuse prénommée Kate, excédée par la trépidante vie citadine et qui rêve de verdure et de campagne, dans sa minable chambre à hauteur d'une ligne de métro, avec comme seul dépaysement un oiseau mécanique dans une minable cage métallique et une maigrichonne plante poussiéreuse. C'est donc avec bien des convictions et beaucoup de détermination qu'elle acceptera le lendemain, l'amoureuse invitation de se marier et de retourner avec lui dans la lointaine ferme parentale. Fort mal accueillie par le paternel de Lem, un être acariâtre, autoritaire et dur, qui la prend pour une intrigante et une aventurière, la jeune femme se verra même brutalisée par le maître de maison, courroucé et furieux du prix dérisoire obtenu par son fiston, pour la vente anticipée de ses quelques milliers de boisseaux de blé dont le cours a baissé d'une façon vertigineuse. L'arrivée du groupe de moissonneurs vivement attendus se semble guère apaiser les tensions alors même que la relation des jeunes époux se détériore de jour en jour et qu'une ravageuse tempête de grêle pourrait traverser la région.
1929, dans le milieu rural de l'Oregon, alors que la dramatique crise boursière est dans ses premiers balbutiements, le fermier Tustine envoie son fils Lem à la bourse du commerce de Chicago pour négocier au meilleur prix sa prochaine récolte de blé. Le jeune homme fait la connaissance dans un snack-bar d'une sympathique serveuse prénommée Kate, excédée par la trépidante vie citadine et qui rêve de verdure et de campagne, dans sa minable chambre à hauteur d'une ligne de métro, avec comme seul dépaysement un oiseau mécanique dans une minable cage métallique et une maigrichonne plante poussiéreuse. C'est donc avec bien des convictions et beaucoup de détermination qu'elle acceptera le lendemain, l'amoureuse invitation de se marier et de retourner avec lui dans la lointaine ferme parentale. Fort mal accueillie par le paternel de Lem, un être acariâtre, autoritaire et dur, qui la prend pour une intrigante et une aventurière, la jeune femme se verra même brutalisée par le maître de maison, courroucé et furieux du prix dérisoire obtenu par son fiston, pour la vente anticipée de ses quelques milliers de boisseaux de blé dont le cours a baissé d'une façon vertigineuse. L'arrivée du groupe de moissonneurs vivement attendus se semble guère apaiser les tensions alors même que la relation des jeunes époux se détériore de jour en jour et qu'une ravageuse tempête de grêle pourrait traverser la région.
Critique
19012
Critique de
Jean-Claude
pour Cinéfiches
Note Cinéfiches : 16/20
Avant-dernière réalisation de Friedrich Wilhelm Murnau qui connut bien des déboires attisés par les fréquentes mésententes entre le réalisateur et William Fox, le producteur qui demanda même à un vague tâcheron, un certain Adolf F. Erickson, de terminer les prises de vue, imposant ultérieurement des dialogues synchronisés, avec comme conséquence, le rejet de l'œuvre dans les oubliettes que l'on considérera pendant longtemps comme perdue, du moins jusqu'au début des années 1960.