Critique de
JIPI
L’apogée du carton pâte dans une suite de scènes ressemblant plus à un défilé de lingerie colorée couvrant à peine les corps qu’à un reconstitué historique digne d’être validé. Le raz de marée final cache une usine à gaz presse bouton faisant s’écrouler les édifices dans un synchronisme fantaisiste.Certaines pierres et colonnes rebondissant comme des balles de ping-pong montrent les limites d’un agréable spectacle dont la fonction première est de divertir sans prises de têtes.Une retour nostalgique dans l'univers du cinéma de quartier.