Inspirée de la vie du Père Reginaldo Giuliani effectivement mort sur le front russe, ostensiblement tournée pour vilipender l'athéisme soviétique qui considérait un prêtre comme un "sorcier catholique" (dixit un commissaire du peuple dans le film) cette œuvre désuète et constamment orientée ne mérite ni bénédiction ni absolution, surtout pas d'un Roberto Rossellini en pleine convulsion fasciste et christique.