On est bien sûr aux antipodes d'un cinéma de consommation, laissant les images et les séquences nous happer et nous interroger, au hasard de notre propre vécu émotionnel, en absence ou en écho de quelque chose de profondément apaisé et doux comme ce lancinant air de violon ou d'accordéon qui flotte deci delà, si près de nous.