Prosper Mérimée doit certainement se retourner dans sa tombe à la projection d'un tel spectacle qui tient plus du vidéo clip techno, faisant de l'oeil à Besson et Kounen, que du court métrage littéraire. Que reste-t-il du drame humain conçu par l'auteur de "Carmen" ? On se le demande bien tristement.