signature non-référencée
"Dans cette ville aux minables matériaux humains, aucun instinct ne peut s'épanouir, aucune passion ténébreuse et inhabituelle ne peut s'éveiller. LA RUE DES CROCODILES fut une concession de notre ville à la modernité et à la corruption des grandes cités. Le malheur de ce quartier est que rien n'y réussit jamais, rien ne peut jamais aboutir à une conclusion précise. De toute évidence, nous avons été dans l'incapacité de nous offrir autre chose de mieux qu'une réplique en carton-pâte, un photomontage découpé dans des journaux moisis de l'année précédente" ..... PANONCEAU FINAL DU FILM.