Même si l'on peut trouver un certain attrait (et non un attrait certain) à l'incroyable imbroglio judiciaire qui se déroule dans la mégalopole britannique et devant nos yeux, il reste que la réalisation patauge dans une indigence d'originalité et de moyens faisant que l'intrigue progresse souvent lamentablement par l'utilisation abusive du téléphone pour s'auto-alimenter en péripéties et en progression (pas moins de seize appels) et cacher par cet artifice vocal, le criant manque de moyens financiers de la production.