Fiche Film - VIVRE ET LAISSER MOURIR

James Bond 007 débarque à New York pour enquêter sur le meurtre de deux agents secrets britanniques : l'un tué durant une session de l'O.N.U. et l'autre dans un restaurant de la Nouvelle-Orléans. Derrière ces assassinats se profile l'ombre d'un important trafiquant de drogue, le docteur Kananga surnommé dans le Milieu, Mister Big. C'est entre Harlem et les Caraïbes que Bond se démènera pour élucider l'affaire.

Critiques et Commentaires

Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches

Note Cinéfiches : 10/20

Certainement un des moins brillants films du genre, qui n'arrive jamais à égaler en suspense, humour et décontraction les déjà nombreuses précédentes réalisations.

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Critique/Commentaire

Critiques - Commentaires Public

Critique de signature non-référencée

« Vivre et laisser mourir » ... Navet, en effet. Ici Bond est au fond du trou et la série parait être définitivement enterrée ! Même le format scope a disparu ! Pitreries ! Musique et scénario bidon quant aux cascades je n'en parle même pas... dire que j'émettais des réserves sur « Opération tonnerre »... Moore a tout fait pour enterrer cette série, mais ça, il n'y est pas arrivé ! ..JFB.

Critique de Chris

Ce film est le premier où Roger Moore endosse le smoking de 007. C'est bien dommage! Bien que Moore interprète honorablement ce rôle, sans trop d'extravagances, il est malheureusement tombé sur un des scénarios les moins intéressants de la série... une intrigue un peu longue à se mettre en place, no sex, no violence... aurait-il peur du sida ? Pour couronner le tout, une chanson du générique assez lamentable, une musique pas vraiment géniale qui en plus ne colle pas au film (entre autres la musik du générique de l'heure de vérité), et, hélas même pas d'écran géant... comment admirer le spectacle ? (en fait mieux vaut l'éviter!).

Critique de E. MARIN

Pour « Vivre et laisser mourir » : branle-bas de combat chez les producteurs de Bond. Connery refuse de rempiler et personne ne veut lui succéder après le bide commercial de Lazenby. Roger Moore, bon samaritain, accepte alors uniquement pour sortir des séries TV qui lui vont si bien pourtant. Manque de pot, le scénario était prévu pour être joué à la façon Connery et ne collait pas à Moore. On décide donc d'écourter les scènes de comédie pour privilégier l'action ... Résultat : des poursuites aussi coûteuses qu'ennuyeuses, ce qui sauve un tant soit peu le film : l'utilisation des mythes vaudous et le sourire de Moore. (les jeux de mots vaseux viendront après)

Bibliographie