Dans une Venise en pleine décomposition, le jeune Tino s'installe dans le palais délabré de son oncle pour étudier la peinture. L'endroit est bien mystérieux, peuplé de fantômes et de signes troublants. Peu à peu les journées basculeront dans l'horreur.
Dino Risi a exploité tous les "trucs" du genre "épouvante", et s'est inspiré des recettes de la littérature du 19eme siècle. Mais l'ensemble n'est pas convaincant : le scénario est maladroit, les poncifs bien trop évidents.