L’idée de départ est intéressante, mais sa mise en oeuvre est décevante. Plusieurs détails sont grotesques : les tatouages et les balafres sur la joue gauche.
Il reste le montage qui raconte le même événement (avant, pendant et après) dans le désordre. Mais la répétition des mêmes scènes comme la lecture du tatouage de la main gauche n’est pas convaincante.
J’abandonne après le discours de Leonard (Guy Pearce) sur la mémoire [24’51].
Monde en Question