Dernière œuvre (en couleur) du prolifique metteur en scène nippon (92 films) ce splendide mélodrame japonais qui rappelle par bien des aspects
Une autre fulgurance du Septième Art, véritable chant du cygne d'un cinéaste qui a toujours été relégué (à tort) derrière l'indécrochable triumvirat formé par Ozu, Mizoguchi et Kurosawa et que le 25e Festival International des Cinémas d'Asie de Vesoul (2019) a remis en lumière.