Une oeuvre longtemps invisible qui est réapparue pour la première fois en 1992 au Musée du Cinéma de Moscou et pour laquelle on comprend aisément la défaveur des instances politiques de l'époque, avec ce parti pris du réalisateur de ne pas encenser le résistant russe, avec tous les canons idéologiques afférents, au détriment d'une histoire à dimension fortement humaine, non dénuée d'humour et de légèreté.