Sous de tranquilles apparences de décontraction feutrée, nimbée de savoir-vivre et de tolérance intellectuelle, un suave et virulent brûlot contre les calotins de la curie épiscopale et les satrapes de la religion qui coassent en chœur et en liturgie les saintes paroles du "crapaud de Nazareth", entre une paternelle bénédiction et quelques lampées de Don Pérignon millésimés, pour perpétrer la grande farce millénaire.