Quand les (pseudos) obligations de toute nature prennent le pas sur l'affectif et que le "système" broie invariablement les restes d'humanité, déjà si fragiles et si clairsemés qui nous habitent encore, on devine imperceptiblement dans quelle société monstrueuse nous sommes plongés et vers quelle aberration impitoyable nous glissons imperturbablement. Ce film danois en est le pitoyable et cinglant reflet.