Fiche Film - BONS BAISERS DE RUSSIE

L'efficace agent secret, James Bond 007, de l'Intelligence Service, est envoyé à Istambul pour dérober à l'ambassade soviétique, un lecteur ultra-moderne, permettant de décrypter les messages codés. La tache est rude pour Bond qui compte beaucoup sur son irrésistible charme afin de mener à bien sa mission. Surtout que dans l'ombre, le guette un bien redoutable adversaire, le dangereux Spectre avec son organisation.

Critiques et Commentaires

Critique de Jean-Claude pour Cinéfiches

Note Cinéfiches : 15/20

Une solide distraction, ponctuée d'humour et de suspense où les hors-bords assassins côtoient efficacement les tueurs au câble d'acier.

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Critique/Commentaire

Critiques - Commentaires Public

Critique de inconnu(e)

Deuxième et avant-dernière adaptation du héros de Fleming par Terence Young, Bons Baisers de Russie est tout à fait honorable. Le film n'arrive malheureusement pas à "accrocher" le spectateur en permanence : un début bien mou, et ce n'est finalement que vers la fin qu'on a enfin droit aux excellentes bagarres et cascades qu'on est en droit d'attendre. A croire que voler le Lektorest un jeu d'enfant compare à l'élimination de Dr No! Heureusement que Goldfinger (mis en scène par Guy Hamilton) redore le blason de 007.

Critique de E. MARIN

Une des adaptations les plus fidèles de Fleming, un peu en marge de la série telle qu'on la connaît maintenant. C'est pas du goût de tout le monde apparemment, mais il n'empêche que ce Bond mérite amplement un classement dans les cinq premiers, car je vous défie d'y trouver une faiblesse

Critique de inconnu(e)

Ce film qu'est "Bons baisers de Russie" est je pense le meilleur des James Bond interprétés par Sean Connery. Il est regrettable que les films produits par la suite dans la même série avec soit George Lazenby, Roger Moore ou Timothy Dalton, aient perdu de cette atmosphère typiquement anglo-saxonne (LE 27 MAI 1989)

Critique de Loïc Pessaud, cinéphage

Incontestablement, le meilleur Bond de la série avec « Goldfinger ». Diminution des gadgets, méchant plus réaliste. Un des Bond les moins sophistiques du point de vue des décors, mais l'un des plus prenants, car l'un des plus sobres et des plus classiques. Sean Connery est remarquable, de même que la mise en scène de Terence Young, très rythmée. Daniela Bianchi campe une adorable espionne. Moins de gigantisme dans cet épisode et c'est tant mieux.

Bibliographie

FICHE de Monsieur Cinéma